samedi 20 janvier 2007

L'école - Ce qu'elle dit sur ....

« Tout se tient : emploi, sécurités, famille, école. Quand un maillon vient à manquer, c’est toute la chaîne qui est fragilisée. »
Fête de la Rose de Frangy en Bresse, 20 août 2006



«  La gauche est seule capable de remettre l’éducation au cœur de tout, de remettre l’école d’aplomb, de remettre de la culture partout, sur tout le territoire, de donner à chaque enfant le droit à la culture et à une ambition scolaire ainsi qu’à la récompense de l’effort. »
Discours de Vitrolles, 29 septembre 2006



« A l’Enseignement scolaire, dans le gouvernement de Lionel Jospin, je me suis battue pour une école plus juste, contre les violences scolaires, pour l’accès gratuit à la pilule du lendemain et pour l’intégration des enfants handicapés. »

(…)

 « De toutes les perspectives exigeantes qu’il [le projet socialiste] ouvre, je retiendrai ici celles qui sont à mes yeux essentielles et que je porterai avec mes mots et mes convictions (…) :

Pour l’école : l’égalité réelle, c’est de tenir pour tous ses élèves la promesse républicaine de réussite. C’est une offre scolaire de qualité sur tout le territoire, c’est le refus que la ségrégation scolaire redouble la ségrégation spatiale et urbaine. C’est le service public de la petite enfance, la lutte contre le décrochage scolaire, des moyens renforcés pour ceux qui en ont le plus besoin, un soutien scolaire individuel et gratuit, l’augmentation de la présence adulte dans les établissements.

La France doit aimer tous ses enfants, d’où qu’ils viennent, où qu’ils aient grandi, dans la diversité de leurs talents. Les jeunes sont notre avenir, et je ne me résignerai jamais à regarder un enfant ou un adolescent, quoi qu’il ait fait, comme perdu à jamais. Il nous revient, à nous adultes, de leur rendre confiance lorsqu’ils la perdent, de les remettre sur le chemin lorsqu’ils dévissent. Fermement et affectueusement. »
Devoir de victoire, Profession de foi, candidature à l’investitude du Parti socialiste, 11 octobre 2006


« L’égalité des chances est pour partie un leurre et la ségrégation scolaire aggrave les ségrégations sociales et spatiales»

S’il est un domaine où le déni de réalité ne passe plus, c’est bien l’école :

« L’égalité des chances est pour partie un leurre et la ségrégation scolaire aggrave les ségrégations sociales et spatiales. Malgré le dévouement des personnels, malgré l’espérance des parents, malgré des réussites qui démentent le déterminisme social. Le scandale n’est pas de le dire mais de laisser faire. Il faut donc poser sans hypocrisie la question de l’égalité réelle et de la qualité de l’offre scolaire sur tout le territoire. »
Le Nouvel Observateur, 5 octobre 2006 


La carte scolaire, instituée en 1963, ne garantit plus la mixité sociale :

« Depuis 50 ans, les choses ont beaucoup changé. (…) Aujourd’hui, la carte scolaire a créé un résultat qui est à l’inverse de celui qui était recherché lorsqu’elle a été créée et beaucoup de familles contournent cette carte scolaire pour choisir leur école. Quand on est à gauche, l’objectif n’est pas de réduire les libertés ; c’est se dire que si pour certaines catégories, notamment les mieux informées ou les plus privilégiées, le libre choix d’une école est un bon principe, pourquoi est-ce que ça ne serait pas le cas pour tous les Français ? C’est ça être socialiste, c’est ouvrir l’éventail des choix à tout le monde dès lors que c’est bien pour certains. »
Les 4 vérités, sur France 2, 7 septembre 2006


Les zones d’éducation prioritaire (ZEP) sont loin d’avoir répondu aux attentes :

« Les moyens mobilisés pour les ZEP n’ont pas été à la hauteur du rattrapage voulu lors de leur création par la gauche. Hors rémunérations des personnels et bourses aux élèves, les établissements de ZEP restent plus pauvres que les autres. Les politiques de droite ont aggravé les choses, mais la gauche ne peut se contenter d’en revenir à la situation antérieure. (…) Les effets stigmatisant du classement en ZEP ne l’emportent-ils pas, de nos jours, sur les bénéfices d’une démarche qui fut novatrice, a fortiori si on ne donne pas aux établissements les moyens de l’excellence scolaire ? »
Le Nouvel Observateur, 5 octobre 2006


Emploi, famille, école, logement, tout se tient :

« L’injustice la plus insupportable, c’est celle qui oppose ceux qui maîtrisent leur destin, qui sont assurés de l’avenir de leurs enfants, qui savent que leurs enfants vont réussir à l’école, avoir un métier, un logement et donc pouvoir choisir leur vie ; et puis les autres, tous les autres, de plus en plus nombreux, tenaillés par la précarité et qui ne maîtrisent plus leur vie, qui ne savent même plus quelles valeurs ils ont la possibilité de transmettre à leurs enfants. Le plein emploi, la lutte contre la précarité, la sécurité des salaires, la réussite à l’école sont au cœur du projet des socialistes. Car des parents précaires, c’est toute la famille qui est déstabilisée et c’est le sens de l’effort scolaire qui est perdu. Emploi, famille, école, logement, tout se tient ; et si un maillon vient à manquer, c’est tout l’édifice qui est fragilisé. »
Fête de la Rose de Frangy-en-Bresse, 20 août 2006


« La révolution scolaire, nous la ferons ! »
(Fête de la Rose de Florac, 3 septembre 2006)


Il faut investir massivement là où c’est nécessaire :

« Je suis favorable, pour les établissements où se concentrent les difficultés sociales et scolaires, à une réduction du nombre d’élèves par classe en CP et en CE1, années décisives pour la réussite ultérieure des apprentissages. Si le gain de performance scolaire est attesté à partir de 17, c’est le seuil à retenir. On peut répondre de plusieurs manières à la difficulté budgétaire, mais je crois l’enjeu trop important pour ne pas prendre les moyens d’améliorer l’efficacité et la justice de notre système scolaire. C’est un investissement pour l’avenir. Je crois aussi qu’il faut évaluer attentivement les résultats de ce qu’on met en place, répartir plus équitablement l’offre d’excellence, donner plus de liberté aux établissements pour s’organiser et innover, soutenir énergiquement les plus en difficulté. »
Le Nouvel Observateur, 5 octobre 2006


Mettre plus de moyens sur l’école primaire :

« Il faut surtout qu'ils [les élèves] arrivent au collège en sachant  correctement lire, écrire et compter. Donc l'enjeu, c'est ce qui se passe avant le collège, c'est-à-dire non seulement dans la pré scolarisation et vous savez que nous allons non seulement faire un service public de la petite enfance, c'est-à-dire améliorer la maîtrise du langage, que nous allons rendre l'école obligatoire à partir de l'âge de trois ans parce qu'on observe avec le recul des moyens réalisés depuis que la droite est au pouvoir, aujourd'hui, un certain nombre d'enfants âgés de trois ans ne sont plus inscrits à l'école faute de moyens dans les écoles. »
RTL-LCI - Le Grand Jury 12 novembre


Desserrer les contraintes de la carte scolaire, c’est rétablir l’égalité républicaine :

« Ma proposition, qui est d’ailleurs conforme au projet du Parti Socialiste (on y rappelle que la carte scolaire doit permettre la mixité sociale), c’est de permettre le libre choix entre deux ou trois écoles, collèges, lycées, c'est-à-dire d’élargir la sectorisation. (…) Cela donnera à la République l’obligation d’investir massivement dans les écoles [les moins attractives], (…) d’y mettre de bons enseignants chevronnés, d’y mettre des moyens, de réduire le nombre d’élèves par classe, d’y mettre des activités d’excellence. »
Les 4 vérités sur France 2, 7 septembre 2006


Le service public de l’éducation doit accompagner efficacement les élèves, depuis le plus jeune âge et tout au long de leur parcours scolaire :

« Le projet socialiste propose la création d’un service public de la petite enfance et la scolarisation à 3 ans. Contre la marchandisation, il affirme la responsabilité du secteur public en matière d’accompagnement individualisé et de soutien scolaire gratuit. Il souligne la nécessité d’une meilleure transition entre le primaire et le collège. Je crois, pour ma part, que le passage instantané, en 6ème, du maître unique à une dizaine de professeurs perturbe certains élèves, qui peinent à trouver leurs marques dans une organisation scolaire trop précocement calquée sur le lycée. Il faudra donc expérimenter des transitions »
Le Nouvel Observateur, 5 octobre 2006


« Un soutien scolaire gratuit » pourrait être assuré par des étudiants, « moyennant des points supplémentaires, la validation d’unités de valeur dans leur propre cursus. »
Fête de la Rose de Florac, 3 septembre 2006


Pour que le respect soit restauré à l’école, les enseignants devront être mieux préparés et mieux épaulés :

« Il est indispensable de mieux préparer les jeunes enseignants à leur métier, de veiller à ne pas les affecter dans les établissements les plus difficiles au début de leur carrière et de les aider, par la formation continue, à renouveler leurs pratiques pédagogiques. »
Ce que je retiens, forum participatif de Désirs d’avenir


« Dans les écoles et surtout dans les collèges, la violence n’a pas reculé. (…) Il faudra que la discipline soit rétablie dans les classes. (…) Les enseignants doivent pouvoir se consacrer à la transmission des savoirs. »
Fête de la Rose de Florac, 3 septembre 2006


« Sur la base du volontariat et avec les compensations financières nécessaires, il faudra pouvoir expérimenter, par exemple, la présence d’un second adulte dans les classes où les professeurs en ressentent le besoin. »
Le Nouvel Observateur, 5 octobre 2006


Il faut encourager une meilleure implication des parents dans la scolarité de leur enfant :

« Que ce soit parce que l’école n’est pas un lieu facilement accessible aux parents, ou parce qu’ils ne perçoivent pas l’importance de leur implication, nombre de parents n’accompagnent pas suffisamment les efforts de l’équipe éducative dans la scolarité de leur enfant. C’est pourtant une des clés de la réussite. Le sujet est au coeur de nombreuses expériences, notamment dans les ZEP : il faut recenser les pratiques innovantes et efficaces et en assurer la généralisation afin que, de façon cohérente et complémentaire, familles et enseignants contribuent à la réussite des élèves. Il faut réinstaurer le dialogue là où il fait défaut. »
Ce que je retiens, forum participatif de Désirs d’avenir


« Tout cela doit être discuté avec les différentes composantes de la communauté éducative et non imposé d’en haut. Bien des évolutions sont possibles si l’on prend le temps de l’écoute et d’un diagnostic partagé pour hiérarchiser ensemble les priorités. Une fois le cap fixé, je veillerai à ce qu’il soit tenu. »
Le Nouvel Observateur, 5 octobre 2006


Pour une véritable révolution scolaire :

« Quand on écoute les gens qu’est-ce qu’ils nous disent ? Ils nous disent que la principale inégalité est dans l’éducation. Il y a les familles qui peuvent faire aider leurs enfants, et ceux qui ne peuvent pas, et des parents qui eux-mêmes n’ont pas réussi à l’école, et qui parfois n’arrivent plus à aider les enfants à partir de la classe de 6ème. Le matin, l’enfant se fait « disputer » mais à la maison il n’a pas eu les moyens. Heureusement il y a beaucoup d’associations qui se mettent en place mais moi je considère que la vraie révolution scolaire c’est de faire en sorte que tous les enfants qui en ont besoin aient du soutien scolaire gratuit pour arriver le matin en ayant fait leurs devoirs et leurs leçons. C’est ça la révolution scolaire. (…)

Parce que l’échec scolaire, il vient d’où ? Il vient de l’insuffisante présence des adultes référents dans les écoles qui se sont encore plus aggravé avec la suppression des aides-éducateurs. Et donc tous ce travail là, il fera remettre l’école débout parce que l’école de la République, c’est ce à quoi nous tenons le plus. (…)

Si il est correctement éduqué à l’école, si il sort du système scolaire en maîtrisant les outils de base, à ce moment là vous imaginez les coûts sociaux que l’on peut diminuer, vous imaginez les avantages en terme de qualité de vie, de soucis en moins, de progression de la société française. Ces priorités là sont au cœur du projet socialiste, et du projet tout court parce que je pense que sur un certain nombre de valeurs beaucoup de citoyens et de citoyennes peuvent se retrouver au-delà des clivages politiques. »
Discours à Villeurbanne, 9 mai 2006


« A l’école aussi, c’est de juste autorité qu’on a besoin »

« A l’école aussi, c’est de juste autorité qu’on a besoin. Ni de laxisme ni d’autoritarisme mais de missions clairement refondées, sans confusion des rôles, de règles justes qui s’imposent aux adultes comme aux élèves, de preuves données que l’échec scolaire n’est pas une fatalité, que le travail, l’effort, le mérite sont récompensés et chacun individuellement épaulé pour qu’aucun élève ne vive sa scolarité comme un ennui ou une souffrance, ce qui est le cas d’un grand nombre d’entre eux, au grand découragement d’enseignants qui se sentent souvent plus livrés à eux-mêmes qu’efficacement aidés. Cette autorité-là, appuyée sur un ordre scolaire vécu par tous comme juste, est la meilleure prévention des violences à l’école et des ressentiments qui explosent à l’improviste. Plutôt que des policiers dans les établissements et l’apprentissage à 14 ans, ce que j’ai constaté dans les collèges lorsque j’étais Ministre de l’Enseignement scolaire et que je constate aujourd’hui dans les lycées de ma région, c’est l’importance, pour réussir, d’équipes pédagogiques soudées et motivées, au clair sur leur projet et cohérentes dans leurs relations avec les élèves. »
Discours à Rodez, 12 mai 2006


« Je crois, moi, possible et nécessaire de soutenir plus efficacement la réussite scolaire des enfants dont les conditions de vie sont les plus difficiles en logeant plus correctement leurs familles, en réduisant là où c’est utile le nombre d’enfants par classe de CP et de CE1 pour donner dès le départ le goût d’apprendre et les habitudes de travail qui permettront de suivre à l’école, en organisant des études gratuites après les cours où chacun pourra faire ses devoirs et apprendre ses leçons avant de rentrer chez lui, en mettant en place des internats-relais pour les élèves qui en ont besoin. »
Discours à Rodez, 12 mai 2006



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vendredi 12 janvier 2007

Comunicado Parti Socialiste Français (PSF-FFE) Madrid - Manifestación del 13 de enero

SECTION DU PARTI SOCIALISTE DE MADRID
FÉDÉRATION DES FRANÇAIS DE L’ÉTRANGER



A/A
Federación Nacional de Asociaciones de Ecuatorianos en España
UGT-Madrid
CCOO-Madrid



Madrid, 12 de enero de 2007

COMUNICADO


Reunidos ayer, 11 de enero de 2007, la sección del Partido Socialista Francés en Madrid ha decidido adherirse a la lista de apoyos para la manifestación de mañana sábado 13 de enero en Madrid por la Paz y contra el Terrorismo, convocada por la Federación Nacional de Asociaciones de Ecuatorianos en España, UGT y CCOO.

El Partido Socialista Francés en Madrid desea de esta manera unirse a la condena de esta nueva barbarie cometida por la banda terrorista ETA que ha sesgado la vida de dos ciudadanos inocentes.


Por otra parte os informo que los militantes del PSF en Madrid acudirán a la manifestación, cuyo punto de encuentro está fijado para las 17h15 en la Glorieta de Alonso Martínez, esquina a calle Génova, frente a Viena Capellanes.

Reciban nuestros saludos más cordiales y solidarios,


Secrétaire de la Section PS de Madrid (FFE)

madrid@ffe-ps.org

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Manifestation du 13 janvier 2007 à Madrid

Le PSF (FFE) section de Madrid a décidé de répondre à l'appel des organisateurs de la manifestation convoquée le samedi 13 janvier 2007 à 18h00 entre la Plaza de Colón et la Puerta de Alcalá.

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RENCONTRE AVEC MIGUEL SEBASTIÁN OUVERTE A TOUS LES FRANÇAIS

UNE RENCONTRE AVEC MIGUEL SEBASTIÁN ORGANISÉE PAR LA SECTION DU PARTI SOCIALISTE DE MADRID ET OUVERTE A TOUT LE MONDE AURA LIEU LE 2 MAI À 19 HEURES AU CAFÉ MAHON PLAZA DEL 2 DE MAYO, 4

GRAND CONCERT DE SOUTIENT A S. ROYAL A CHARLETY

Grand concert de soutien à Ségolène ROYAL à CHARLETY, le 1er mai (17h00)(Ouverture des portes à 15h00) Le 1er mai nous avons le plaisir de t'inviter à participer à un grand concert de soutien à notre candidate, Ségolène ROYAL au stade Charlety. Outre Bénabar, Cali, Michel Delpech, Leny Escudero, Indochine, Rachida Khalil, Kéry James, Mokobé, Renaud, Sanseverino, Tikenjah, ont également donné leur accord pour se produire lors de ce concert: Yannick NOAH, La Grande Sophie, les Têtes Raides, Olivia RUIZ, Moustaki, Alain LLORCA de Gold....Cette liste n'est pas exhaustive. Au cours du concert, Ségolène ROYAL prendra la parole.

Déclaration de J.L.R. Zapatero - Dimanche 15 avril

Le chef du gouvernement socialiste espagnol José Luis Rodriguez Zapatero "ressent une grande empathie politique pour la candidate socialiste" Ségolène Royal.
M. Zapatero apportera personnellement son soutien à Mme Royal en assistant à un meeting de la candidate prévu le 19 avril à Toulouse. Il l'avait reçue à Madrid en septembre, à une époque où elle n'était pas encore la candidate officielle du PS.
"J'aime son programme et je crois que sa prédisposition à se maintenir à l'écoute est exemplaire. Mais, en plus, il me semble décisif qu'une femme soit pour la première fois dans les conditions d'accéder à la présidence de la République française.C'est un pas en avant très important pour l'amélioration de la condition de la femme à travers le monde et cela apporte une image de rénovation qui peut être très importante pour la France et pour toute l'Europe.
Cette campagne, de mon point de vue, a des caractéristiques qui la rendent particulièrement attractive.
L'Europe a besoin de la France pour continuer à avancer dans son projet et il est logique que dans toute l'Union européenne, ce processus électoral suscite une grande attente à un moment particulièrement important pour le projet européen".
Bonjour, Il peut vous sembler étrange de ne pas organiser de débat participatifs à Madrid, mais il est relativement compliqué de toucher le collectif des français de l'étranger à Madrid. Les français à Madrid s'intégrent relativement bien dans le tissu Madrilène et contrairement à d'autres pays nos compatriotes n'ont pas la nécessité de se regrouper. Il n'en reste pas moins que le comité de campagne de Ségolène Royal à Madrid est à votre disposition et est joignable à l'adresse de courrier électronique: segolene2007madrid@yahoo.fr Dans les prochaines semaines jusqu'aux élections certains évènements sont prévus et nous vous en tiendrons informés. Merci de nous contacter.
Conformément à la loi Française ce site ne sera pas actualisé entre Samedi 00h00 et Lundi 00h00. Ceci est le dernier message affiché sur le site durant cette suspension.

Votez Ségolène Royal dès le 1er tour !

COMMENT VOTER POUR L’ELECTION PRESIDENTIELLE


(22 avril et 6 mai 2007 de 8h00 à 18h00)


Pour l’élection présidentielle de 2007, les électeurs inscrits sur la liste électorale consulaire de Madrid pourront, selon leur lieu de résidence, voter dans les bureaux qui leur ont été indiqués dans la lettre circulaire en cours de diffusion, à savoir :
  • A Madrid , dans l’un des quatre bureaux qui seront ouverts dans les locaux du Consulat général, 10 Calle Marques de la Ensenada, 28004, métro Colòn (Tél. 91 700 7800)
  • A Alicante, dans les locaux de l’Antenne consulaire, Calle Arquitecto Morell, 8 - 03003, Alicante (Tél. 96 592 1836) ;
  • A Santa Cruz de Tenerife, dans les locaux de l’Agence consulaire, Calle Punta de la Vista, 3 - 1°, Cuevas Blancas, 38111 Santa Cruz de Tenerife (Tél. 92 223 2710) ;
  • A Valence, dans les locaux de l’Antenne consulaire, Calle Cronista Carreres, 11, 1-A, 46003 Valencia (Tél. 96 351 0359).
  • Et les nouveaux bureaux créés cette année

ATTENTION, vous ne pourrez voter que dans le bureau de vote dans lequel vous êtes inscrit